Le fourgon est enfin sur ses 4 roues. Deux jours sans bruits suspects, sans cliquetis et autres grincements. A peine entend-on Charles en ronronnement de fond qui parle/chante/ /chouine/râle/parle/chante/chouine/râle … selon ses habitudes.
Jérôme a repris sa belle couleur rose. Je jauge la gravité des problèmes mécaniques à son changement de teint. Un peu comme ces petits personnages-baromètres de notre enfance qui viraient du rose au bleu en fonction de l’humidité dans l’air. Quand il devient vert, j’en déduis immédiatement que l’heure est grave !