New York : la fin rocambolesque de 12 jours en van

New York (Staten Island, NY by night, Highline)

 

Tout cela a commencé par un épisode 1 et par un épisode 2.

 

Nous sommes le vendredi 4 août quand nous ouvrons un oeil, toujours stationnés dans notre rue résidentielle du quartier Saint Georges de Staten Island.

 

On apprécie de dormir ici car les rues sont assez calmes en circulation et bien ombragées. Disons que l’ambiance est paisible, en opposition totale avec le centre de Manhattan.

 

En plus, c’est mignon.

 

Mairie de Saint-Georges

maison bourgeoise

 

 

Toujours avec les amigos argentinos, nous prévoyons de visiter NY by night et donc de prendre auparavant une journée tranquille à la piscine de Port Richmond. Et décidément, cet endroit ne manque pas de surprises !

 

La piscine de toutes les surprises !

 

Retour dans le quartier de Port Richmond.

 

 

 

On n’a pas bien eu le temps de bronzer depuis l’avant-veille, mais on ne se dégonfle pas : on veut se doucher et les enfants s’amuser.

 

Nous stationnons donc à l’entrée du skate park, comme il se doit, et attendons que la nouvelle tranche horaire de la piscine ouvre. J’observe les gens autour de nous : la très grande majorité sont afro-américains ou mexicains. Un très gentil monsieur vient nous parler spontanément : il est originaire du Niger et vit aux US depuis 20 ans. Il est livreur chez UPS, se plaint de la vie très dure dans son pays d’adoption, bien qu’il s’estime privilégié avec son salaire correct et ses 4 semaines de vacances. Problème : il lui est interdit de les prendre de façon consécutive et il n’a donc jamais pu revenir en vacances dans son pays d’origine depuis qu’il est parti.

 

Plus loin, des mamans attendent l’ouverture de la piscine avec leurs enfants : je suis très étonnée car toutes s’adressent à leur progéniture en leur vociférant dessus des mots pas gentils du tout 😵‍💫 … Devant l’entrée est stationnée une voiture de police, mais les policiers ont l’air relax …Etrange …

 

 

 

 

Aujourd’hui le Cerbère de la porte (voir épisode 2) s’est un peu détendu à notre égard et nous sommes tous autorisés à entrer « même juste pour prendre une douche ». Personne ne semble plus faire cas de notre manque de couleurs. Ils se sont résignés à notre pâleur 😂.

 

 

 

 

Nous profitons de la piscine un bon moment quand, au moment de sortir, Cerbère nous prend gentiment à part pour nous proposer « en douce » des paniers repas offerts par la collectivité aux moins fortunés. Voyant nos 5 enfant et notre mode de vie atypique, elle est persuadée que nous sommes tous sans ressources ou presque car nous dormons dans nos véhicules. Touchés par son attendrissement à notre égard, nous lui expliquons que nous sommes juste des voyageurs en véhicules aménagés mais sans douches, que nous mangeons à notre faim et qu’il est hors de question que nous enlevions le pain de la bouche de personnes vraiment dans le besoin. Mais elle insiste : ce qui n’est pas mangé aujourd’hui sera jeté le soir même, la mairie livrant trop de paniers repas par rapport aux réels besoins. Je trouve cela très intéressant de constater l’existence de ces aides concrètes de la collectivité aux enfants défavorisés.

 

De fait, comprenant qu’il ne faut pas vexer un Cerbère de bonne volonté si on veut continuer à pouvoir venir se doucher,  nous repartons avec nos petits sacs. Surprise ! Leur contenu n’est pas mal du tout : une briquette de lait, des fruits coupés en morceaux, un sandwich au fromage et des carottes crues destinées à être trempées dans une barquette de hummus. C’est un repas équilibré et sans junk food ! Bon … il y a quand même un petit paquet de chips, mais on va dire que ça ne compte pas .

 

 

Les paniers repas

 

Nous partons faire quelques courses dans le quartier et constatons que tous les commerces sont tenus par des mexicains. Ils ont d’ailleurs l’air assez prospères sans non plus rouler sur l’or. Ici, ils forment une classe moyenne bien installée. Dans ce quartier, je ne vois aucun migrant faire la manche alors que la ville de NY est actuellement submergée par les nouveaux arrivants et ne sait plus comment les gérer.

 

 

 

Si je vous raconte tout cela, c’est que notre dimanche et notre lundi seront un peu  impactés par ces considérations. Vous verrez comment.

 

En attendant, nous partons pour New York by night !

 

New York by night

 

Suivant nos amis argentins, nous nous offrons évidemment tous les classiques du genre !

 

Coucou à la statue !

 

En route pour NY by night en métro : 

 

 

 

Grand Central Terminal

 

 

 

Le Rockfeller Center :

 

 

 

 

La cathédrale Saint Patrick

 

 

Broadway :

 

 

 

Times Square, évidemment :

 

 

Rien à dire, c’est enthousiasmant !

 

 

 

Même le retour en ferry nous offre des vues incroyables sur la ville qui ne dort jamais !

 

 

La Highline pour moi seule !

 

Samedi matin, je pars seule en direction de Manhattan. Nous sommes rentrés tard et tout le monde est crevé. Moi, je veux encore visiter la Highline.

 

Retour à Manhattan, via le ferry, puis direction la ligne 1 du métro.

 

 

 

 

Je traverse tout d’abord une partie du quartier de Chelsea pour m’y rendre, passant à côté du plus célèbre stade du monde, le « Madison Square garden« . Je rentre même dans la gare du Moynihan Train hall, histoire de tester leurs toilettes.

 

 

J’en sors un peu sceptique. 

 

 

 

Puis j’arrive enfin à la Highline, une ancienne voie ferrée suspendue des années 1930 qui a progressivement été transformée en jardin. 

 

 

 

 

Je commence donc par le nord, au pied du « Edge« , un immeuble d’une centaine d’étages offrant une plateforme touristique pour admirer la vue sur NY.

 

 

 

 

Je suis immédiatement séduite par l’aspect « jardin » du lieu, qui contraste avec les buildings et l’aspect industriel premier de l’endroit.

 

 

Il y a des artistes qui exposent des oeuvres permanentes, c’est sympa.

 

 

 

Je m’achemine jusqu’au « Vessel », une attraction de forme alvéolaire de 16 étages et 80 paliers. On ne peut, en revanche, pas les gravir, cette possibilité n’étant pas offerte le jour de ma visite. La « chose » en reste néanmoins spectaculaire.

 

 

 

Je prends ensuite plein sud. Je suis agréablement surprise par les fleurs présentes en abondance.

 

 

Seul problème : c’est bondé et tout le monde semble marcher à contre-sens de moi. Cela m’oblige donc à prendre mon temps et à profiter de tous les petits « refuges » dégagés sur le côté de la Highline pour reprendre pied et admirer les alentours.

 

 

 

Il y a des immeubles design, d’autres plus classiques qui bordent la Highline.

 

 

 

Des percées permettant d’admirer les avenues.

 

 

Vers la sortie sud, une « rivière » permet de se tremper les pieds et de se rafraîchir.

 

 

 

De là, on a une belle vue sur l’Hudson et « Little Island« , ce qui me donne envie de m’en rapprocher ! Il s’agit d’une structure suspendue en béton d’environ un hectare et reposant sur des pilotis. Inaugurée en 2021, elle offre un agréable jardin public pour se promener (voir la vidéo sur la Highline).

 

 

 

 

Morte de chaleur, j’abandonne le quartier en milieu d’aprem pour regagner Staten Island.

 

 

 

Un dimanche inoubliable au milieu de communautés un peu à cran

 

Notre séjour à New York s’achève car nous en repartirons le lendemain. Nous avons plein de logistique à faire et laissons nos amis argentins allés seuls à Harlem assister à une messe en gospel. Nous y étions le dimanche précédent.

 

Pour nous ce sera laverie et rangement. Nous avons localisé un « laundromat » non loin de la piscine de Port Richmond et nous y rendons. Elle est tenue par des mexicaines.

 

 

Sur la boutique, il est écrit :

 

Nous stationnons et entendons soudain des chants gospel au loin.

 

 

 

Je vais voir  et constate qu’une communauté afro-américaine toute vêtue de blanc assiste à une messe en plein air qui a lieu dans une rue fermée par des barrières,  l’église devant elle, un parc dans son dos. Dans ce dernier, un certain nombre de mexicains sont assis, indifférents à l’office. Je me place avec eux et observe. Je suis la seule touriste. 

 

 

 

Les chants et les prêches se succèdent. Contrairement au dimanche précédent, les fidèles sont beaucoup plus « vivants », exaltés. On chante, on danse. C’est pas Sister Act, mais on s’en rapproche. J’hallucine un peu et vous invite à regarder (plus bas) la modeste vidéo que j’en ai fait, un peu cachée derrière un arbre 😅. Tout va bien, tout le monde se traite de « brothers » and « sisters« , l’ambiance est bonne. Formidable.

 

Soudain, un mexicain revenant de faire ses courses, se pointe. Plutôt que de contourner l’office par le parc, il décide de continuer tout droit dans la rue et de passer entre l’autel et les fidèles. Le mec  joue avec sa vie : ceux qui étaient alors en transe « peace and love » le prennent violemment à partie et il faut l’intervention du pasteur pour qu’il échappe à une pluie de coups probable. Je ne peux croire que ce type soit passé par-là sans autre intention que de provoquer… Quoi qu’il en soit, il a pris des risques. La messe continue🤔.

 

 

 

 

Arrive le moment du prêche du pasteur. Celui-ci se lance dans un sermon très énergique expliquant à ses ouailles que si la vie est dure et mauvaise, « the Lord » (Jésus) est toujours là pour eux : « “With men this is impossible but with God all things are possible.”. Il hurle dans son micro comme un homme politique en campagne avant de continuer son prêche… en chantant comme une rockstar ! C’est juste dingue. Vous le verrez à la fin de ma vidéo, c’est le mec qui chante comme Elvis (enfin, toutes proportions gardées 😁)

 

 

 

 

Je m’en vais récupérer le linge et, entre temps, Jérôme a garé le van sur un bord de la place. Nous continuons donc à suivre la messe depuis ce dernier, nous affairant à autre chose. Tout le monde communie, se congratule et se disperse. Soudain des cris nous font sortir la tête : une bagarre vient d’éclater entre fidèles afro-américains. On dirait des supporters de foot à la sortie d’un match ! Tout le monde hurle et les gifles sont à 2 doigts de voler. C’est de plus en plus dingue. Je ne filme pas, de peur de m’en prendre une 😅. Il faudra l’intervention du pasteur qui, comme une maman, viendra pacifier ses enfants, pour que les esprits se calment. Punaise ! Il a du boulot le « Lord Djizeuss Craïste »  hihi.

 

En tout cas, c’était pas une messe pour touristes 😁 ! De ce point de vue, c’était satisfaisant !

 

Pourtant le quartier est vraiment mignon et paisible en apparence !

 

 

 

A proximité de là, nous partons visiter le jardin botanique de Staten Island. C’est un endroit magnifique. Bien plus fleuri que Central Park.

 

 

Un petit concert de rock anime les alentours du resto du parc.

 

 

 

 

Il y a des jardins à la française :

 

 

 

Des musées installés dans de vieilles demeures :

 

 

Une petit mémorial du 11 septembre :

 

 

 

 

Magnifique !

 

Continuant à ranger et à trier nos affaires, nous retournons à la piscine où nous avons rendez-vous avec nos amis argentins.

 

C’est regrettable, mais je dois quand même les jeter hihi. Elles auront donné toute satisfaction pendant une bonne année !

 

 

C’est notre dernière soirée ensemble sur le continent américain. Dans 15 jours ils partent en Europe.

 

 

Oracio et son sceau !

 

Le parc du skate park et de la piscine fermant à 22 heures, nous éternisons la soirée ici. Je discute avec un vieux monsieur – blanc, pour le coup – qui vient nourrir 2 fois par jour Rudolph Valentino, un petit chat qu’il a pris en affection. J’avais déjà repéré les 2 dans la semaine. C’est un vétéran de l’US Navy qui a fait le tour du monde et nous félicite de profiter de la vie maintenant car il s’inquiète beaucoup pour le futur de notre monde, une guerre lui paraissant fort possible.

 

 

 

Il fait nuit et nous sommes toujours à bavarder devant nos véhicules avec les amigos, les enfants s’amusant avec un vieux skate abandonné quand des cris s’élèvent du parc à jeux. Des petits enfants se prennent la tête entre eux. Soudain, toutes les nombreuses familles afro-américaines présentes sur les lieux se scindent en eux et les gifles et les insultes se mettent à pleuvoir dans tous les sens ! Ouh merde ! Mais qu’est-ce qu’ils ont tous dans ce quartier à être aussi à cran ?! Le groupe  se rapprochant de nous, nous décidons de les laisser se débrouiller entre eux et quittons le parc afin de ne pas être pris à partie, un peu étonnés de cette violence soudaine que rien ne laissait présager. Heureusement que les armes ne sont pas en vente libre ici… Quand je vous disais que j’allais vous faire découvrir un New York inconnu des touristes « normaux »  😂 !

 

 

 

 

Une fois à l’abri, par curiosité, je regarde sur internet l’historique du quartier. Il est intéressant : bien qu’il soit en apparence très mignon malgré ses installations portuaires, je découvre (un peu tard) qu’il s’agit du plus dangereux de Staten Island (échelle 7/10 quand les autres sont à 3/10) et que dans les années 2010 des émeutes raciales ont eu lieu entre les afro-américains et les latinos, causant de nombreux dommages à ces derniers. Ceci explique un peu ce que j’ai vu le matin même à la messe quand le mexicain a traversé, mais aussi les strictes règles de la piscine et la voiture de flics stationnée devant elle en journée.  Mais ça ne me dit pas pourquoi les gens sont aussi agressifs entre eux au sein d’une même communauté ? Je reste sans réponse.

 

 

Dernière nuit, aussi, sous le plafond du van pour Carlito 😂

 

 

Le lundi de la fin de toutes choses

 

Au matin du lundi, nous disons au-revoir à nos amis argentins, bien tristes comme à chaque fois.

 

 

 

Il nous reste pas mal de choses à faire, dont laver le van. Nous sommes dans une station-service, toujours dans le même quartier où nous avons dormi,  entrain de passer l’aspi, quand 2 dames viennent poliment nous demander de reculer un peu pour qu’elle puisse accéder au compresseur d’air pour les pneus. Pas de souci, nous nous exécutons sur le champ.

 

 

 

 

3 mètres plus loin une autre voiture s’est mal garée derrière nous, mais nous avons largement la place de manoeuvrer. Jérôme enclenche la marche arrière, recule de 1.5 mètre et part stationner un peu plus loin. Sa propriétaire, sans sortir de sa voiture, pète alors littéralement un plomb alors qu’il ne s’est absolument rien passé. Elle se rapproche de nous et se met à nous insulter, nous menaçant avec son doigt. Je ne comprends rien d’autre que des  « fucks » intercalés entre chaque autre mot et le fait que nous avons voulu lui rentrer dedans pour abîmer sa caisse. Elle gueule tellement fort  et de façon si agressive que nous comprenons qu’il vaut mieux ne pas entrer dans son jeu car elle ne cherche qu’à en découdre. C’est la première fois que nous voyons quelqu’un comme ça – excepté en France, hélas. En toutes ces années d’Amérique latine ou du nord ça ne nous est jamais arrivé, ni à titre perso, ni à titre de témoins.

 

Ignorant cette femme, nous rentrons flegmatiquement dans le van et continuons ce que nous avions amorcé, sans plus lui prêter attention. On a vraiment autre chose à faire que de se battre avec une dingue pour un évènement qui ne s’est pas produit. Au bout de 2/3 minutes de diarrhée verbale déversée sur le voisinage et nous, elle finit par se lasser et s’en aller.

 

On toque de nouveau à la porte. Punaise, ça n’en finit plus ! Cette fois c’est une gentille dame qui vient nous voir : témoin de la scène et comprenant que nous sommes français, elle vient s’excuser de l’agression que nous avons subie, au nom de la communauté afro-américaine. Elle a vraiment honte et nous dit que malheureusement ses congénères du quartier son « rough and rude« , « sometimes dangerous » (grosso modo mal dégrossis et grossiers, parfois dangereux). Elle nous prie encore de les excuser mais nous conseille de ne pas rester dans ce quartier de Port Richmond : même s’il n’a pas l’air craignos à première vue, il l’est vraiment.

 

De toute façon, nous avons fini. Nous partons en direction du New Jersey et de Linden plus précisément où le storage attend le van.

 

Il est désormais bien propre, les valises sont faites. 

 

 

 

Le van est vendu.

 

Ses nouveaux propriétaires français viendront le chercher fin août. C’était un super véhicule de voyage, notre meilleur depuis les Toyota 4X4 que nous avions avant 2015 en France. Il nous manquera, c’est sûr ! Pourtant, soyons réalistes, Carlito grandit à toute allure et il va lui falloir plus d’espace, plus de copains voire plus de sédentarité pour le moment.

 

 

Voici toutes les routes que nous avons parcourues aux US depuis notre premier séjour en 2018

 

Une page se tourne. 

 

Notre UBER nous conduit à l’aéroport de Newark.

 

 

 

 

Ce soir, nous quittons le continent américain pour rejoindre l’Afrique du Nord et le Maroc en particulier. Nous y reviendrons, c’est certain.  Mais pour l’instant en route pour une autre vie qu’il nous reste entièrement à écrire ! On repart de zéro. Pour quelques mois ou quelques années ? Qui vivra, verra car nous n’en savons rien. Les opportunités (ou pas)  de la vie en décideront.

 

La suite quand j’aurai quelque chose à raconter ou un petit bilan à faire 😊

 

7 pensées sur “New York : la fin rocambolesque de 12 jours en van

    • 23 août 2023 à 14 h 42 min
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      Coucou les amis ! Oui, on se rapproche un peu ! J’espère que ça nous donnera de vraies bonnes occasions de nous revoir !

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  • 22 août 2023 à 16 h 01 min
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    Alors ce sera où la prochaine escale ? Bon voyage et peut-être à bientôt. Très belles photos pour le 3ème épisode et un régal pour les commentaires toujours avec des petits frissons

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    • 23 août 2023 à 14 h 43 min
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      Curieuse hihi ! La suite au prochain épisode

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  • 23 août 2023 à 15 h 45 min
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    Hello Valérie, Jérome et Carlito, On ne vous a pas écrit, mais on suivait vos voyage..
    Pour nous, après avoir rapatrié en 2021, le Toy du Pérou, il est maintenant en Afrique du Sud, ou nous allons le retrouver pour 15 jours en octobre et 2 mois en début d’année..
    En attendant, on sera du 13 au 23 septembre à Marrakech ou nous avons une petite maison,
    Si vous êtes par là, on peut vous accueillir et nous aurrions grand plaisir à vous revoir.

    Bises à vous trois,
    Gégé et Véro

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    • 23 août 2023 à 16 h 24 min
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      Salut les amis ! Merci pour votre message ! C’est super votre proposition ! Nous sommes à Rabat, mais je vais voir si on ne peut pas faire un saut pour venir vous faire la bise. Ce serait très sympa !

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      • 23 août 2023 à 18 h 13 min
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        Ah Rabat ! J’y suis né et j’y ai vécu mes 15 premières années… c’était hier..
        Vous pouvez venir en train facilement de Rabat à Marrakech.
        On vous attend ! Enfin dès qu’on y est !

        Répondre

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