Pour les épisodes précédents, voir ici :
- mars-avril : de l’histoire courte au roman fleuve
- avril-mai : ô rage, ô désespoir
- mai-juin : 3 mois fermes plus tard
- juin-juillet : le monde absurde de maintenant
- juillet-août : le désastre du mois d’août
Résumé : nous entamons notre sixième mois de confinement non-stop, quand, miracle ! Une lueur apparaît dans la nuit ! Reste à savoir si la « nouvelle normalité » qu’on voudra nous imposer ne sera pas la petite soeur psychopathe de « l’ancienne imbécilité » dans laquelle nous vivions déjà ?