Surprises sur la Riviera Maya (acte 2)

Valladolid, Coba, Tulum,  Akumal, Playa del Carmen, Cenote El Cristalino, Puerto Morelos

 

 

Ah que les plats Campeche et Yucatan nous ont semblé beaux ! Tellement loin des clichés que nous en avions ! Nous en étions là de notre séjour et de nos réflexions quand, le temps passant, nous avons repris la route pour justement « achever » (si l’on peut dire, vue la taille de l’État en question) ce fameux Yucatan et basculer chez son voisin le Quintana Roo et sa fameuse Riviera Maya qui fait rêver l’humanité entière.

 

La tête farcie de couleurs, heureux des rencontres faites, des pueblitos desconocidos traversés, nous commençons doucement à basculer dans une autre dimension touristique quand nous franchissons les portes du pueblo magico d’Izamal.

 

Scène 1 -Basculer en douceur dans une autre dimension touristique

 

Nous sommes le 30 décembre, il fait beau et chaud quand nous arrivons dans le pueblo magico d’Izamal.

 

 

 

Sans y avoir jamais mis un pied, je l’avais presque déjà visité en faisant quelques recherches sur le Yucatan sur internet.

 

 

 

 

C’est le fameux village jaune qui s’organise autour d’une pyramide et d’un spectaculaire couvent du 16ème siècle.

 

 

 

Nous stationnons et décidons de dormir au pied de la pyramide maya. Un excellent endroit.

 

 

Une vieille pyramide un peu décatie, mais sympa à visiter et … pour dormir !

 

 

Les calèches qui déambulent dans les rues bien léchées indiquent que nous sommes déjà dans une zone très appréciée des touristes, sans que l’endroit ne soit bondé ou désagréable pour autant.

 

 

 

Néanmoins, au bout d’une demi-journée force est de constater qu’il n’y a pas grand-chose à faire à Izamal, une fois escaladée la pyramide et visité le couvent. Ce n’est pas là que nous passerons le réveillon du 31 car, comme vous le savez, nous sommes TRRRES exigeants sur la qualité de nos réveillons :mrgreen:

 

 

Marquesitas ! Marquesitas !

 

 

Scène 2 – Un réveillon à Valladolid à la hauteur de l’année 2020 !

 

Direction Valladoloid et le camping Xtopec. Ce dernier a retenu notre attention dans la mesure où il offre un vrai coin de verdure en ville (il a aussi des jolies palapas pour y dormir), avec sa cenote sèche, son tour relatif aux abeilles et sa piscine.

 

 

La cenote sèche

 

 

Toujours est-il que nous sommes le 31 décembre et que nous n’avons toujours pas de plan pour le réveillon. Au camping, le gérant et sa cuisinière nous ont fait miroiter la possibilité de déguster des pizzas maisons dans leur joli parc. C’est modeste, mais comme il y a de toute façon un couvre-feu vers 23H on ne peut pas espérer « un réveillon de dingues à la colombienne ».  Nous passons donc la journée à arpenter la ville, un peu éloignée de notre lieu de résidence. Quand nous rentrons en fin d’après-midi, nous sommes crevés. Mais heureusement une bonne pizza nous attend. Le soleil se couche et nous achevons notre année 2020 en appréciant ses derniers rayons.

 

 

Adieu 2020

 

 

Sur les coups de 19 heures, je m’étonne néanmoins du peu d’ambiance sinon festive, du moins culinaire du camping. Les lampadaires s’éteignent les uns après les autres, l’accueil ferme ses portes. Par acquis de conscience, je demande quand même au gérant à quelle heure nous pouvons commander les pizzas (vous le sentez venir le réveillon de misère ??? 😆 ). Me regardant d’un air mi-candide, mi-étonné, je l’entends me répondre « Que pena ! La cuisinière ne sera pas là ce soir. Tout le monde part réveillonner ailleurs. Allez ! Bonne soirée ! ». « Comment ça pas là ?! Et nos pizzas ?! » A la tête du gars un peu penaud je comprends que c’est mort. Mais non seulement mort, mais enterré : nous n’avons réservé aucun resto et dans le quartier au sens très large, il n’y a même pas un boui-boui d’ouvert. Inutile de ressortir. C’est un tantinet la douche froide, autant vous l’avouer hihi. La malédiction des réveillons s’abat de nouveau sur nous :mrgreen: .

 

 

Un compagnon de réveillon

 

 

Et cette fois-ci, il n’y aura même pas de dinde de Noël, sous vide et en tranches, bien dégueue, comme à Noël. Le frigo est absolument vide, tout comme les placards. Un vide intersidéral. Un trou noir (probablement le responsable de l’état du frigo qui, en aspirant en lui toute la nourriture, nous a laissé démunis). Il ne nous reste qu’une bière fraîche, du sel, de l’huile et … un paquet de maïs à faire pop-corner (si vous me permettez l’expression). Eh bien ! Qu’à cela ne tienne ! Faisons contre mauvaise fortune bon coeur et pop-cornons ! Et c’est ainsi qu’assis sur un banc dans la pénombre  du camping nous dévorons notre pop-corn comme unique repas de réveillon en laissant derrière nous une année 2020 aussi imprévisible et insipide que les grains qui éclatent sous nos yeux :mrgreen: . Forcément, à manger du maïs comme des poules, nous nous endormons en même temps qu’elles, notre profond sommeil  à peine perturbé par 2021 qui, à minuit, s’annonce à nous par ses nombreux pétards !

 

 

Vous êtes là, les gars ?!

 

 

Et ouais … on pensait avoir battu un record de réveillon foireux à Noël, mais celui du 31 décembre l’emporte haut la main :mrgreen: 

 

Scène 3 – Des cenotes sauvages aux cenotes d’élevages

 

Nous ouvrons donc notre premier oeil de l’année 2021 à Valladolid, petite ville provinciale sans grand intérêt quand on connaît le reste des villes coloniales mexicaines (ah ! Zacatecas, Guanajuato, San Miguel Allende, Puebla, Taxco, Oaxaca, etc !!! Et même, plus proche, Campeche). Mignonnette au plus, mais dans laquelle nous n’avons jamais réussi à faire un repas mieux que moyen (et nous ne sommes pas difficiles, le pop-corn arrivant en désespoir de cause à nous satisfaire quand même ^^), du boui-boui au resto plus chic. Bien que nous y ayons passé 4 nuits  (à cause du chouette camping), notre enthousiasme quant à la ville en elle-même reste limité.

 

 

 

 

L’attrait de Valladolid réside davantage dans ses  cenotes. Et quelles cenotes ! Nous avions été éblouis par celles relativement intimes de Homun, en allait-il être de même ici ? La première que nous visitons, sans nous baigner, est la cenote Zaci, ouverte et située en plein centre-ville. Coincée entre 2 pâtés de maisons, elle présente l’intérêt de la surprise !

 

 

 

Ensuite, il fallait faire des choix. J’avais vu partout les photos de la belle nana s’avançant sur la plateforme de la cenote Suytun, en robe vaporeuse et chapeau de paille. Mais, pffff … je n’avais ni le chapeau de paille, ni le joli amoureux en chemise de lin (désolée, Jérôme, si tu me lis, il faut changer d’urgence tes tee-shirts), ni les followers, comme vous le savez ^^. Sans rire, nous sommes allés au plus près pour nous, c’est-à-dire aux cenotes Dzitnup et Xkeken. Et là, c’est le choc. Un grand parking pouvant contenir des bus entiers, de nombreuses boutiques de souvenirs, des photos à faire avec des animaux n’ayant rien demandé d’autre que de pouvoir s’enfuir…  C’est bétonné et rempli de monde à 9H du mat’ … Nous voici donc à l’ère de la cenote industrielle !

 

Jérôme et Charles décident malgré tout de se baigner au milieu des passagers de bus flottant comme de petits jouets en celluloïd. Avec le contraste des couleurs, c’est joli à regarder, mais ça ne me donne pas très envie de plonger.

 

 

Dans la cenote d’à côté, c’est encore pire. Comme il s’agit d’une cenote fermée, on pénètre littéralement dans une caverne remplie de monde essayant de se frayer un chemin sur des escaliers étroits pour accéder à l’eau. Pour faire plaisir à Carlito, je cède à la baignade, mais la foule me fait regretter les cenotes plus sauvages d’Homun

 

 

 

Je repars donc un peu déçue … Non des cenotes en tant que telles qui sont fort belles, mais de cette organisation faite pour le tourisme de masse et sans aucune mesure sérieuse anti conarovirus.

 

Scène 4 – Echappée belle à Coba

 

Alors, Coba n’est pas seulement un site archéo génial, comme allez le voir, c’est aussi l’endroit où j’ai commencé à voir « mes » premières paires de fesses et de seins dévêtus, de-ci, de-là 😯 . Un peu bêtement, nous y allions surtout pour les intéressantes ruines mayas qui s’y trouvent, mais nous y avons trouvé d’étranges humains se baladant dans d’excentriques tenues pour un site archéo… Mais, ce n’était que le début ….

 

Mais, revenons-en à cette impressionnante cité maya qui se développa autour de 5 lacs (et de leurs moustiques), sur environ 70 km² et qui présente des vestiges impressionnants, partiellement recouverts par la jungle. 

 

 

 

Comme le site est vaste, nous louons des vélos pour parcourir quelques-uns de ses accessibles sacbe (chemin), qui reliaient les différents ensemble de la ville, voire la cité à d’autres cités.

 

 

Est-ce l’effet conarovirus ? Il n’est plus permis de monter sur les pyramides ou de visiter les temples…

 

 

 

La visite reste néanmoins géniale et nous y passons 3 bonnes heures, entre ruines et jungle. Nous avions juste oublié de faire suivre de quoi manger et boire, le site n’offrant qu’une petite boutique où acheter des chips et des rafraîchissements. 

 

Il reste cette affaire de personnes desnudas ou presque que je ne parviens pas encore à élucider… Mais Tulum va m’apporter quelques éclaircissements :mrgreen: 

 

 

 

 

Scène 5 – Tulum : de l’éco-tourisme à l’ego-tourisme

 

Sortant de Coba, nous filons dormir à Tulum. Comme tout le monde, je sais qu’il s’agit d’une station balnéaire avec un magnifique site archéo, mais j’ignore tout du reste. Notamment, qu’il n’existe pas de vrai malecon sur lequel se promener le nez au vent. 

 

Une bonne chose néanmoins : le dépaysement est total ! Dans la rue, des hauts-parleurs hurlent à fond et en anglais aux touristes de porter leurs masques, lesquels touristes se gardent pour beaucoup de le faire. Au supermercado, en revanche, les visiteurs sont plus sérieux : si nombre d’entre eux déambulent en maillots de bain, voire en strings, tous compensent la légèreté de tissu du bas par un tissu sur la bouche. Tout est dans l’équilibre de la tenue :mrgreen: Le contraste avec le reste de ce que j’ai vu au Mexique est total. Nous sommes vraiment dans une autre dimension touristique.

 

Mais le site archéo nous réserve d’autres surprises …

 

Nous y arrivons à 9 heures du matin. Whaou ! Le parking est gigantesque ! Mais il y a encore peu de monde. Pour le moment. Nous traversons un premier centre commercial, débouchant lui-même sur un second. Il y a un distributeur bancaire, une pharmacie, un Starbucks, des dizaines de boutiques de souvenirs… Mais où sommes-nous ? Tous les prix sont en dollars … Des camions charrient les touristes ne voulant pas marcher  jusqu’aux ruines. Des spectacles débutent, de malheureux animaux sont encore exploités … C’est Disney !!! Je suis soufflée !

 

 

 

Mais le plus amusant reste à venir. Tout à coup, une jeune femme en « robe filet de pêche », quasiment nue sous cette dernière mais en santiags dorées (!) surgit devant nous dans les ruines, tandis qu’un peu plus loin 2 jeunes hommes prennent des photos de leurs pectoraux musclés  au pied du castillo… Je commence à sérieusement me demander où nous sommes tombés ou, pour le moins, s’il existe un dress-code excentrique spécifique pour visiter les ruines de Tulum  ?! Et dire que nous avons laissé nos tenues de drag-queens à la maison ! On passe vraiment pour des ploucs hihi

 

 

Nous. Dans un style plus conventionnel, mais moins gai, il faut en convenir ^^

 

Je suis morte de rire (OK c’est pas chrétien, mais c’est un rire sans méchanceté : disons que c’est à 1000 lieues de ce qu’on pense observer sur un site archéo), mais n’en apprécie pas moins le décor archéologique qui tend à devenir saturé de monde à 10 heures du mat’ !

 

 

 

On a vu les photos 100 fois, mais je ne résiste pas à étaler ma galerie de cette petite cité maya construite sur le tard et ouverte sur l’océan, le lieu étant vraiment magique :

 

 

 

 

Pour se remettre de nos émotions et pousser l’investigation relative aux « fesses à l’air », nous achevons notre journée dans la très esthétique lagune Kaan Luum. Mais le temps se gâte et les postérieurs se rentrent avant que nous ayons pu établir une théorie fiable… Néanmoins, je commence à comprendre pourquoi, à Campeche, la policière nous avait autorisé à bivouaquer dans une rue du centre-ville à condition que nous ne nous fassions pas bronzer à poil devant le véhicule (voir article précédent).

 

 

 

 

Scène 6 – Prendre le large à Akumal

 

Après toutes ces émotions, il était temps d’offrir à Carlito un cadeau de Noël digne de ce nom. Il souhaitait depuis longtemps faire une plongée en bouteilles dans le lac vaseux de Guatapé, mais nous lui offrons les fonds mexicains.

 

 

 

A bientôt 11 ans, il est désormais autorisé à plonger. Sur conseil de Véronique des « 8 pieds sur Terre », nous contactons un club français basé à Playa del Carmen (Mexico 02, contact de Maud : +52 984 115 3249). C’est Katie, une jeune femme parlant français, très sympa et très pro qui va initier Carlito à la plongée. Clairement, le plus difficile aura été pour lui de faire passer ses gros panards de sauvageon dans une combinaison. Le reste n’a été que du bonheur, nous a-t-il dit, puisque nous n’avons pas eu le droit de l’accompagner pendant sa matinée.

 

 

 

Vers 12H30 c’est un Carlito heureux et crevé que nous récupérons, des étoiles plein les yeux ! Super !

 

 

Back !

Trop dure la vie

 

Tant qu’à nous, nous avons glandé sur la plage de sable blanc. Quel agréable endroit !

 

 

 

 

Scène 7 – Playa del Carmen, l’autre « gringo land »

 

Quand nous arrivons à Playa del carmen, que je pensais être un village comme Akumal, j’ai le même choque que celui éprouvé en arrivant à Mazatlan : « sauve qui peut ! C’est une vraie grande ville pleine de zones commerciales ! »

 

 

 

 

Et qui dit grande ville, dit galère pour passer des nuits correctes dans des endroits sympas. Sur le conseil de Marc et Marilou (« Gauchita autour du monde« ) de très sympathiques français rencontrés à Tulum, nous élisons domicile sur le parking d’un resto dans une zone commerciale, très loin de la mer. Marc étant plein de bonnes astuces nous passons de très bons moments en leur compagnie.

 

 

L’eau c’était chez les pompiers, pas peu fiers de nous aider !

 

 

 

Le lendemain, pour échapper à la plage publique, accessible entre deux barres d’immeubles, nous partons à la playa punta esmeralda, une plage « appartenant » encore aux mexicains et présentant la spécificité de comporter une lagune d’eau douce se jetant dans l’océan. C’est superbe. Disparition momentanée des fesses à l’air … J’en déduis donc qu’il s’agit d’une mode  gringa et non autochtone :mrgreen: Nous y passons une très bonne journée un peu pluvieuse à déguster le foie gras que Marc  partage généreusement avec nous (merci amigo ! snif notre premier foie gras depuis des années !)

 

 

La lagune

 

 

 

Mais le défilé de fesses revient sitôt franchie la Quinta avenida, très longue rue piétonne regroupant tout ce que le cheap, le m’as-tu-vu, le bling-bling peut compter sur la Riviera Maya. 

 

 

Je suis sceptique quand je lis parfois chez les blogueurs que Playa del Carmen est la quintessence du Mexique. En fait, affirmer cela, c’est comme si un étranger en venait à conclure que la visite du Parc Astérix  lui a permis de connaître la France :mrgreen: :. Playa del Carmen est avant tout un endroit de divertissements balnéaires pour gringos où tous les prix sont en dollars. J’écris cela sans connotation péjorative.

 

 

Sapin bling-bling

 

Pour autant, c’est tellement too much, que je finis par prendre du plaisir à me promener sur cette Quinta avenida. On dirait un peu le strip de Las Vegas, mais en bord de mer. Les normes sanitaires ne sont évidemment pas très bien respectées, mais j’avoue que les gens ont l’air tellement heureux d’être libres que je goûte pleinement  à leur bonheur. L’ambiance est vraiment cool et je suis contente de voir des personnes bien dans leur peau.

 

Pour achever notre séjour Playa del carmenien, nous visitons le lendemain la plus merveilleuse cenote que nous ayons rencontrée (à mon goût) : la cenote du Cristalino. Un endroit magique composé de plusieurs cenotes ouvertes ou fermées, ombragées. Un guide, inclus dans le prix d’entrée,  fait visiter à la nage la cenote fermée, tandis que des dizaines de petits poissons viennent butiner nos petites peaux mortes sur les pieds et les jambes. Incroyable.

 

 

Carlito y fait son premier saut à 5 mètres de hauteur. Trop fier.

 

 

Pas là, of course. Là il se contente de se faire dévorer les pieds par les poissons mangeurs de peaux mortes ^^

 

 

Scène 8 – Puertos Morelos, l’ultime pueblo

 

Nous achevons notre visite du Quintana Roo par le village de Puerto Morelos, beaucoup moins américanisé que Tulum ou Playa del Carmen et beaucoup plus mignon. 

 

 

 

 

Le temps est à la pluie malheureusement car j’aurais bien fait une dernière baignade ici avant de rentrer en Colombie.

 

 

 

 

 Mais peu importe, dans le fond. Il nous reste peu de temps pour vider et laver notre camping-car que nous avons vendu à une autre famille de français. L’ambiance est un peu lourde et triste car Carlito et moi aimions beaucoup ce véhicule.

 

 

Une nouvelle famille, un nouveau voyage

 

 

Une page se tourne encore pour nous… Qui sait où l’année 2021 nous conduira et dans quel nouveau véhicule ?

 

 

 

Epilogue 

 

Ces 18 jours passés sur la péninsule du Yucatan furent, en définitive, une belle découverte et nous laisserons de beaux souvenirs. 

 

En attendant de savoir où la vie nous conduira, nous mettons un terme à nos extraordinaires périples au Mexique, après l’avoir parcouru depuis Nogales jusqu’à Cancun en 3 fois. Visiteurs attentifs et passionnés, totalement séduits par « l’autre Mexique »,  celui mal connu des visiteurs internationaux : le Mexique de l’intérieur, des scorpions et des hauts plateaux, des villes coloniales et des pueblos magicos, le Mexique s’étendant de Durango à Oaxaca … Nous reviendrons, j’en suis sure !

 

 

8 pensées sur “Surprises sur la Riviera Maya (acte 2)

  • 15 janvier 2021 à 5 h 52 min
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    Merveilleux endroits, paysages magiques, vous avez de la chance de pouvoir bouger, visiter et vous en mettre plein les yeux. Carlito va avoir des souvenirs magnifiques à raconter plus tard . Vous ne changez pas, vous avez bonne mine, les aventures vous vont à ravir. Bonne continuation, merci pour tes histoires racontées toujours avec humour . Gros bisous à vous 3

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    • 15 janvier 2021 à 5 h 58 min
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      Ah j’oubliais… Non ton fils n’a pas les pieds palmés , tu es un brin moqueuse… , Des bisous

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    • 16 janvier 2021 à 0 h 33 min
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      Hola ! Merci pour les compliments amiga ! J’espère que tu vas garder le moral et je comprends ta tristesse . Quelle horreur ! Courage ! On vous embrasse bien fort

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  • 15 janvier 2021 à 19 h 12 min
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    En ces temps si moroses qui me paraissent interminables, j’ai beaucoup apprécié de pouvoir m’évader quelques instants en vous lisant et en admirant vos photos.
    Bises à vous trois
    JR

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    • 16 janvier 2021 à 0 h 25 min
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      Ah tant mieux amigo ! J’espère que vous allez bien malgré tout ! Grosses bises

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  • 16 janvier 2021 à 0 h 11 min
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    Ce fut un plaisir de vous rencontrer et de partager un peu de temps avec vous.
    Et de toute façon on se retrouve en Colombie pour la suite de l’histoire.
    Bisous Marc et Marilou

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  • 16 janvier 2021 à 1 h 09 min
    Lien Permanent

    Coucou ! Juste pour te proposer de passer un réveillon avec vous, vers 2023, 2024, ou 2025. Nous aussi on est assez forts pour les réveillons festifs (Cordoba, en centre ville, dans le plus bel hôtel donnant sur la plus belle place, …. et personne dans les rues, aucune animation, et quelques gâteaux secs pour tout repas de réveillon.
    Vous + nous, ça devrait être spécial !!!

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